Malgré les efforts que fournit la Sucrière africaine du Gabon (SUCAF) pour ravitailler les grossistes et les détaillants en sucre, la pénurie semble n’avoir pas encore été éradiquée définitivement du marché gabonais. Dans certaines Gaboprix de la capitale gabonaise, Libreville, les consommateurs ne sont autorisés à en acheter que deux paquets au maximum.
Alors que le prix du paquet de sucre est revenu à la normale depuis quelques jours, les consommateurs de ce produit de première nécessité tant prisé, sont une fois de plus confrontés à une autre difficulté en rapport avec ce même produit. Il s’agit de la quantité d’achat autorisée à chaque client dans certaines Gaboprix de la capitale gabonaise, Libreville.
En effet, dans certaines gaboprix sillonnées par notre équipe de rédaction, notamment celle du quartier Nzeng-Ayong dans le 6e arrondissement de la commune de Libreville, celle de Louis et celle de derrière la prison, chaque client n’est autorisé d’acheter que deux paquets au maximum.
Une situation qui réduit les besoins de certains consommateurs qui s’en procurent pour des raisons d’activités commerciales. C’est le cas des pâtissiers et boulangers, laitiers et bien d’autres.
Sachant le désagrément que cette situation crée à ces acteurs économiques, les autorités compétentes et les responsables de la SUCAF devraient regarder de près cette situation, afin de réguler la vente de ce produit pour le bénéfice des populations.
Warren Okolo