Chaque 23 juin, le monde célèbre la journée internationale des veuves. Comme de nombreux pays dans le monde, le Gabon ne s’est pas mis en marche de cette célébration. Pour cette édition 2023, le ministre de la Justice, garde des Sceaux, chargée des Droits de l’Homme et de l’Egalité des Genres, Erlyne Antonela Ndembet Damas est revenue sur les efforts déjà fournis par le gouvernement gabonais et la Fondation Sylvia Bongo Ondimba.
Si plusieurs pays dans le monde célèbrent ce vendredi 23 juin 2023, la Journée internationale des veuves, le Gabon n’est pas resté en marge de cette commémoration adoptée par l’Assemblée Générale des Nations-Unies en décembre 2010, Conformément à la résolution n°65/189.
Une célébration dont le but est de sensibiliser le grand public sur les Droits des veuves dans le monde. Car, elles sont nombreuses ces femmes qui, après le départ de leurs conjoints, finissent dans la rue avec les enfants sans rien. Parce que les parents du défunt les auraient spoliés en les laissant sans rien. Alors que, dans la plupart des cas, elles participent à la réussite du conjoint disparu.
C’est pour lutter contre ces abus, que le gouvernement gabonais et la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille ont mis en place une pile de mesures visant à protéger la veuve après la mort du conjoint, comme l’a indiqué le ministre de la Justice garde des Sceaux, chargée des Droits de l’Homme et de l’Egalité des Genres, Erlyne Antonela Ndembet Damas, hier 22 juin 2023.
« Le gouvernement et la Fondation Sylvia BONGO ONDIMBA ne ménagent aucun effort dans la lutte contre la spoliation. C’est ici le lieu de saluer les efforts inlassables de Madame la Première Dame, dans le domaine et dont les résultats sont perceptibles sur le terrain » a indiqué le ministre de la Justice.
Toutefois, rappelons qu’au titre des mesures prises par le gouvernement gabonais pour protéger la veuve au Gabon, on compte la mise en place de la plateforme Gabon Égalité et le numéro vert anonyme et gratuit le 1404, qui à ce jour ont permis de sauver plusieurs veuves et orphelins maltraités, pour ne citer que ces deux là.
Warren Okolo